Du continent à Kea , qui est notre entrée dans les Cyclades, la traversée se fait par calme plat , agrémentée de la visite d'une famille de dauphins, peu curieux aujourd'hui sans doute en chasse ou bien désolés de ce temps maussade et frais .
Un timide soleil nous joue le halo irisé au travers des stratus,
puis il perce son voile délicat ,
pour une bienvenue alléchante,
( mais l'eau est encore fraiche)
( mais l'eau est encore fraiche)
en baie de Kourissia
l'album
des marqueurs
Tout est là , dans les ruelles du port de Korissia, perchée sur la colline, la chora nous livrera une partie de ses secrets , d'un coup de taxi , au terme de 6 km de grimpette .
En un coup d'œil de l'Attique au golfe d'Eubée ,
utile , voire indispensable pour se protéger des pirates .
Un dédale
de ruelles ombragées
serpente dans la Chora , où ,
le charme joue , captivant à chaque pas.
Un peu en dehors
des sentiers battus,
dans la paix du maquis
repose
le lion de Kea , taillé à même le rocher,
et qui mérite bien la balade par le chemin muletier, qui lui fait le tour de l'ile,
pas nous, car:
l'heure c'est l'heure !!!!
de butiner ,
Oups!!!
Vourkari: idem cul à quai ou sur corps mort .
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